Mais j'y pense...

C'est vrai que j'avoue que je suis une menteur. C'est vrai aussi que j'ai fait beaucoup de mal depuis un an même si il y a eu des instants magnifiques. C'est vrai aussi que je suis faible. C'est vrai aussi que je suis très, très, très fou d'après certaines personnes (l'amour ce n'est pas une succession d'équations ou de chiffres ou d'explications ou de disputes au sens grec naturellement). En fait non, ça ce n'est pas vrai. Il n'y a pas eu d'expertises scientifiques qui prouve  par A + B que je suis fou. Je devrai en parler à un conseil juridique pour porter plainte pour diffamation tiens! Mais, je me trompe de pays je ne suis pas aux USA pardi.

Aujourd'hui, je viens de comprendre un point essentiellement de ma personnalité. Je ne mets pas des mots sur tous mes actes ou toutes mes situations de vie. C'est un moyen inconscient d'autodéfense.

Mais revenons instant au cœur du sujet. Prenons un peu de hauteur aller ça me fera du bien. Ce qui est curieux dans certaines situations, c'est le fait d'omettre certains points de détails. Sans ces points de détails l'histoire dans son ensemble n'a pas le même sens. Du coup, on se focalise sur une chose et on cogne dessus. Mais dans les faits, lorsqu'on a fini de cogner sur cela que reste-t-il? Que reste-t-il?! Rien.
J'entends ici et là que je suis complètement fou. Non encore une fois, je ne le suis pas. Je ne porte pas de jugements catégoriques sur les gens que je ne connais pas. Et puis, moi je suis qui pour affirmer que telle ou telle personne est folle? Je ne suis pas un spécialiste. D'ailleurs, quand on me parle de telle ou telle personne je me garde de juger. Alors aujourd'hui je ne vais pas changer de point de vue ni déballer ce que je pense de certaines personnes (que je ne connais pas d'ailleurs), mais mon sentiment (indépendamment des faits) me fait dire que certaines personnes jugent un peu vite sans connaitre et encore une fois c'est tellement simple de voir la paille dans l'œil de l'autre quand on a des milliers de poutres dans ses yeux. Et puis ce qui est curieux dans la nature humaine, c'est quand on est heureux on s'en fout de savoir pourquoi la personne en face de nous est heureuse! Le bonheur ne pose pas de problème surréaliste et ne nous renvoie pas une image détestable. Par contre, dans le cas contraire c'est un autre histoire...on s'empresse de chercher le pourquoi du comment, de juger un peu et d'agir sans prendre de recul.

Voilà ce que je trouve injuste et automatiquement les actions menées après ne sont pas acceptable (tiens je viens de dire ce que je pense) à mes yeux car biaisées et sans fondements! Je ne remets pas en cause les faits dans son ensemble. Je ne jette pas la pierre au premier venu. Mais quand je pense à l'ensemble du tableau je me dis que...je suis super amer.
Pour finir, je me demande ce qui va se passer une fois que la première équation sera traitée dans son ensemble. Va-t-on passer à la deuxième qui lui ne me concerne pas et que MOI je ne permettrai pas de juger?!

Je vais songer à changer de nom de rubrique...